Pour la femme, l'attente à l'arrière en Vendée. 14 fut très remarqué et positivement jugé par la critique littéraire. Title: Partition pour hommes, poux et rats / Jean Echenoz, 14, Minuit, 2013, 123 p. Author: Anne-Marie Régimbald Created Date: 5/2/2020 12:45:13 PM Cela semble épuré et pourtant ! Sie folgt hier dem 23 Jahre alten Anthime, der aus seinem jugendlichen Alltag gerissen wird und plötzlich seinen ersten Kriegswinter im Schützengraben an der belgischen Grenze … Cinq hommes sont partis à la guerre, une femme attend le retour de deux d'entre eux. Qu'on le foute en pruison l'Echenoz on verra si ça pond autre chose, baratineur prétentieux, comme si il en manquait des récits sur la guerre. La joie, l’impatience sont palpables, on verra ce qu’on verra ! La perfection ne doit pas être bien loin. Petit par le format (125 pages) grand par le contenu. Ce n'est pas 'encore' un livre sur la guerre de 14, c'est une histoire dont la toile de fond est la guerre de 14. Peut être dans la bourgeoisie alors, ils ont toujours plus d'avantages et de combines que le bas peuple. Les descriptions sont très réalistes mais c'est surtout les réactions de jeunes gens qui donnent intérêt au livre. Jean ECHENOZ, 14 (2012), la mort de Charles 5 10 15 20 25 Plus tardviendront la chasse et les bombardements, l'interdiction de survol de certaines zones à l'adversaire, l'attaque des ballons dirigeables et captifs lorsque les choses enarriveront, très bientôt, à s'aggraver sans mesure. L’écrivain, son style et son double dans 14 de Jean Echenoz. Bref, j'ai trouvé ça très court, très anecdotique et même si l'écriture est agréable, concise, précise, et que j'ai lu ce roman sans déplaisir, je me suis demandé "A quoi bon ?" Le récit relate, de manière croisée, la guerre. (mai 2013). Il contient 123 le nombre de pages. Mais cette fois-ci, victoire, avec "14", je suis allé jusqu'au bout ! L'ensemble de cet ouvrage est comme son titre ou même cette quatrième de couverture : il y a beaucoup d'informations, mais dans un texte de pouvoir sourire. 123 pages pour couvrir les 4 années de conflit sans se perdre dans les détails, mais qui décrivent tout, presque tous les cas possibles, l'attente, la mort, les blessures, l'horreur, la peur, la solitude, la fuite, le destin et son ironie, le front et l'arrière… C'est violent, on est comme éclaboussé également, mais sans blessures puisque l'on tourne les pages encore et encore. « 14 » est à lire et surtout à relire. C'est le règne des médiocres alors ? Jean Echenoz’ Roman „14“ beleuchtet den Weltkrieg aus einer ungewöhnlichen Perspektive Von Martin Gaiser Besprochene Bücher / Literaturhinweise. L'horreur et la grâce, la futilité et la profonde gravité des choses.. 14 de Jean Echenoz a les ambiguités de l'âme humaine.On avance dans ce "petit" grand livre comme au champ de bataille, déconcertés par la simplicité de l'épouvante, aux côtés d' Anthime, Padioleau, Bossis, Charles et Arcenel, soldats incroyablement vivants, comme revenus de l'enfer pour marcher à nos côtés le temps d'une lecture. Echenoz résume fort bien cette connerie cruelle : « Tout cela ayant été décrit mille fois, peut-être n'est-il pas la peine de s'attarder encore sur cet opéra sordide et puant. C’est un peu comme cela aussi qu’il nous fait entrer dans la guerre : simplement, pas d’éloquence, pas de sentiments. Lesen Sie weiter . Ah qu'on t'y reprenne pas, pitié. Écoutez gratuitement l'audiobook 14 avec l'offre d'essai Audible. Tous les ebooks de Jean Echenoz en MP3 et EPUB et PDF. Rien ne se passera comme prévu. Mit dem nun auf Deutsch erschienenem Buch "14" von Jean Echenoz hat Rezensentin Lena Bopp einen ebenso erschütternden wie beeindruckenden Roman über den Beginn und die Folgen des Ersten Weltkriegs gelesen. L'histoire parallèle de Blanche qui symbolise le rôle de la femme en temps de guerre et illustre le couple sacrifié est un peu trop évidente. Et puis, j'étais déjà beaucoup sollicitée. Puis vient le moment d’aller Foncer baïonnette au fusil et entripailler en courant Gueule que t'en peux plus décrire, t'en as marre, vole ton éditeur, en procès, là d'accord on aura de l'aventure, de l'empathie pour ton manque d’inspiration, t'y seras en guerre là. 14 est un roman de Jean Echenoz paru le 4 octobre 2012 aux éditions de Minuit. This is why we allow the books compilations in this website. Quand. Javascript doit être activé dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalités de ce site. Ce titre a pourtant fait couler beaucoup d'encre dans les revues spécialisées pour la dernière rentrée littéraire de septembre 2012, mais je n'y avais pas plus prêté attention que cela. International bekannt wurde er durch seinen Roman Ich gehe jetzt, für den er 1999 mit dem Prix Goncourt ausgezeichnet wurde. Ici, l'auteur fait une peinture personnelle de la première guerre mondiale en suivant cinq jeunes vendéens dans la tourmente des tranchées. Jean Echenoz, 14 (2012), incipit. Il déploie une verve, une jubilation dans les jeux de langage, une « scansion» du rythme et de l'action, tantôt flâneuse, tantôt bondissante, qui rappellent effectivement le jazz qui lui est si cher. au front, d’affronter l’ennemi. Je n'arrivais pas à entrer dans cet univers en grande partie à cause de l'écriture. Impérissable qu'on devait se battre, monter en opération pour la première fois mais, jusqu'au premier impact de projectile près de lui, Anthime n'y a pas réellement cru." C'est la vie et l'horreur de la guerre. Ainsi, j'ai découvert la cervelière, sorte de petite calotte métallique qui les soldats ont du mettre sous leur képi au début du conflit et vite remplacée par un casque pour cause de peu de pratricité. Pas de grands actes héroïques, pas de récits épiques, encore moins de belles histoires d'amour, pas même un grand personnage historique en vue. C'est technique et bucolique. c'est plat, rien à dire. L'horreur et la grâce, la futilité et la profonde gravité des choses.. 14 de Jean Echenoz a les ambiguités de l'âme humaine.On avance dans ce "petit" grand livre comme au champ de bataille, déconcertés par la simplicité de l'épouvante, aux côtés d' Anthime, Padioleau, Bossis, Charles et Arcenel, soldats incroyablement vivants, comme revenus de l'enfer pour marcher à nos côtés le temps d'une lecture. Jean Echenoz ne raconte pas l'horreur des combats, il décrit plutôt comment ces hommes sont frappés par le destin. Pour parler de la guerre deux solutions, on l'a vécu ou bien l'on a été soumis à des horreurs similaires dont on est capable de transmettre l'intensité. A lire pour se persuader, s'il en était besoin, que 14 a fait du dégât. Le récit relate, de manière croisée, la guerre. C'est parfois une vision décalée, entre la production des godillots, les animaux sauvages ou domestiques dans le conflit, les amputations. L’écrivain, son style et son double dans 14 de Jean Echenoz Stéphane Chaudier To cite this version: Stéphane Chaudier. Ne lisez pas ce que je n'ai pas écrit : c'est toujours du grand art, concis et efficace mais mes deux lectures précédentes de l'auteur m'avaient procuré un peu plus d'émotions, les passant dans la catégorie supérieure de mon classement très personnel. Pas difficile me direz-vous, ça ne fait que 124 pages dans un format poche, écrit gros. Pour la femme, l'attente à l'arrière en Vendée. Toutefois, est-ce la brièveté ou le sujet, ce roman m'a moins séduite que les autres. L'écriture est simple, ramassée, minimaliste, économe d'effet, incisive et efficace. Ce texte est le chapitre 9 du roman 14 de Jean Echenoz publié en 2012 qui évoque des personnages dans des situations plus ou moins différents pendant la première guerre mondiale. assez court (123 pages seulement), mais qui en dit tellement long ! "14" raconte une infime partie de la Grande Guerre mais qu'elle est forte, bouleversante et poignante. » En peu de mot, beaucoup est dit. Le chapitre 1 debute par une scene banale : le personnage d'Anthime, un samedi apres-midi, decide de faire un tour a velo a la campagne. Le ton est grave, parfois ironique. "14" est d'une puissance stylistique pure ! Une fois refermé, on n'a qu'une envie: reprendre le livre du début pour revivre l'émotion... une fois encore ! Court roman faisant une rupture par rapport aux trois biographies romancées successives publiées par l'auteur, il s'attache à la description des évènements de la Première Guerre mondiale, et d'une France qui entre de plain-pied dans l'ère industrielle, au travers des destinées de cinq hommes issus des classes moyenne et ouvrière et d'une femme.