En 1994, à nouveau, Lucky Luke a son propre périodique (mensuel), cette fois chez Semic, qui ne dure encore que quelques numéros, du numéro 1 (juin 1994) au numéro 8 (janvier 1995)[82],[83]. Un autre président américain représenté est Rutherford Birchard Hayes, qui lui aussi confie des missions, surtout dans l'histoire L'Homme de Washington, où il est escorté par Lucky Luke pendant sa campagne à travers les États-Unis[s 1]. Devant le succès du personnage de Rantanplan, Morris crée une série dérivée où n'apparaît pas Lucky Luke. Calamity Jane fait sa première apparition dans la vingt-troisième histoire Lucky Luke contre Joss Jamon[i]. Le jeu Lucky Luke : Sur la piste des Dalton sort sur PlayStation et PC en 1998, il est édité par Ocean Software et le but est de ramener les Dalton qui se sont échappés. Oui si elle ne jure que par vous⦠L'allié de Lucky Luke dans l'histoire Le 20e de cavalerie est dur, froid et distant, il s'agit du colonel Mac Straggle de la cavalerie[d 39], ainsi que son fils Grover qui est aussi son souffre douleur[d 40]. L'architecture de la maison est en tout point semblable à celle du film d'Alfred Hitchcock. Du reste, le grand cinéaste sera patron d'un saloon dans cette histoire ainsi que dans La Diligence[52]. Solitaire, il est toutefois accompagné d'un ami fidèle : le cheval Jolly Jumper, qui lui donne la réplique de manière souvent comique. Les ennemis créés pour l'occasion sont Black Wilson, un membre du conseil d'administration de la Transcontinental Railway et ses trois hommes de main chargés d'empêcher les travaux de la ligne de chemin de fer entre Ox Gulch et San Francisco[d 45]. Il apparaît principalement dans l'histoire à son nom où apparaissent aussi son frère ainé et complice Franck[d 25] et son cousin Cole Younger[d 26], puis seul dans Belle Starr. Le ministre des affaires étrangères français de 1991 à 1995, Hubert Védrine a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[105]. L'acteur Tom Novembre a cité la série comme une de ses bandes dessinées préférées[105]. Le banquier et sa montre à gousset, les dames de la haute bourgeoisie armées de leur ombrelle, l'agent du télégraphe toujours distrait, les vautours sans cesse aux aguets apparaissent également de manière récurrente[c 8]. En 2001, la société française de production Xilam réalise une nouvelle série animée intitulée Les Nouvelles Aventures de Lucky Luke. Il apparaît dans la plupart des albums où se déroule un grand trajet à travers les États-Unis, ainsi il fait sa première apparition dans la quarante-septième histoire, La Diligence, puis il revient dans Le Fil qui chante, La Fiancée de Lucky Luke et Belle Starr. Il est aussi très solitaire et l'on ne sait rien de sa famille, sauf lorsqu'il parle à deux reprises seulement de son grand-père dans La Ruée vers l'or de Buffalo Creek et Phil Defer[d 4]. Le graphisme de la série est alors inspiré de celui des dessins animés avec des traits ronds pour les personnages[c 1]. Il ne répond pas aux exigences 2 et 3 qui sont citées plus haut : on ne peut pas établir dâéquivalences ou proposer des passerelles entre contenus de manière automatisée. Ainsi le héros, Lucky Luke, présenté comme un cow-boy, est montré à plusieurs reprises en train de garder les vaches dans les grands espaces américains, les stéréotypes du cow-boy sont caricaturés quand il est aussi présenté comme un défenseur sans faille de la veuve et de l'orphelin qui tire plus vite que son ombre et peut boire au saloon aussi bien du whisky que du Coca-Cola. Il est fort probable que vous connaissiez plus que vous ne le pensez ! » et de « Yo ! On la trouve dans la tournée générale de l'histoire Lucky Luke contre Joss Jamon, la partie de bras de fer de l'histoire Calamity Jane, l'effondrement de Joe Dalton dans l'album Sur la piste des Dalton, la roulette dans l'histoire Dalton City, la séance de psychanalyse avec les Dalton dans l'histoire La Guérison des Dalton, la partie de poker dans l'histoire Les Cousins Dalton qui montre la tricherie des Dalton. We would like to show you a description here but the site wonât allow us. L'année suivante, sort un jeu intitulé Le jeu du tricheur, un jeu de 52 cartes avec un filtre rouge pour pouvoir lire la carte quand elle est retournée[s 34]. C'est dans l'histoire qui porte son nom qu'elle trouvera son physique et sa personnalité standard[d 20], et sera le personnage principal d'une deuxième histoire : Chasse aux fantômes. Beaucoup de ses collègues de la bande dessinée sont eux-mêmes représentés dans la série. L'Homme de Washington est publiée en 2008[64]. En 1974, sort un jeu de domino à l'effigie des personnages de la série[s 26]. Jean Gabin apparaît en cow-boy dans Lucky Luke contre Joss Jamon. Lucky Luke qui jusque-là tirait avec un revolver dans l'estomac de son ombre, désormais tire avec deux armes en plein cœur de son ombre[f], la fumée sortie des revolvers est aussi gonflée pour rendre l'image plus impressionnante. Marcel Dalton présent dans l'histoire du même nom est l'oncle des Dalton, banquier en Suisse il est le seul membre honnête de la famille et va engager ses neveux dans une banque qu'il ouvre aux États-Unis[s 13]. La série se déroule sur une période de 40 ans, de 1861 (juste avant la guerre de Sécession qui débute en avril) jusqu'à la fin du siècle. Deux autres aventures originales suivront rapidement, toujours avec Jacques-Henri Duval : Le retour des Dalton et Les Dalton prennent le train, dans ce dernier opus, les quatre affreux sont cette fois interprétés par Paul Bisciglia, Claude Dasset, Jacques Hilling et Clément Michu. Jacques Attali, conseiller de Nicolas Sarkozy et de François Mitterrand, a déclaré adorer la série. Conversation; Bonjour tout le monde ! Elle a participé à l'élaboration des règles et caractéristiques qui sont devenues par la suite des classiques de ce style de bande dessinée[49]. Une culture unique. Bonne journée, Bon après-midi (ou Bonne après-midi), Bonne nuit, etc. La danseuse de cancan est présente dans les saloons de la série depuis la libération des mœurs, sous les traits d'une jolie fille ; son autre activité, qui est la prostitution, jamais avouée, saute tout de suite aux yeux des lecteurs plus âgés. Il est délicat de trouver le juste milieu en amour et avec une bonne communication elle retrouvera à coup sûr un comportement plus mesuré. Il « travaille » dans la prison du Texas où sont emprisonnés les frères Dalton. Elliot Belt est un chasseur de prime dans l'histoire du même nom que tout le monde déteste pour sa vocation à la délation. Cette ritournelle est détournée à plusieurs reprises comme dans l'histoire La Fiancée de Lucky Luke, où Lucky Luke chante une version plus longue, parlant de ses pensées sur les femmes ou encore à la fin de l'histoire À l'ombre des derricks, où Lucky Luke s'écrie « Et à nous le Texas, où il n'y a pas de pétrole ! En septembre 2015, le créateur et auteur de la série Silex and the City, le français Jul, est annoncé comme le nouveau scénariste de la série, pour un premier album prévu pour novembre 2016[23]. Pour son personnage, Morris s'inspire initialement de plusieurs acteurs de western américains, Tom Mix, William S. Hart et surtout Gary Cooper pour son côté élancé, un peu dégingandé. Pour ses scénarios, Laurent Gerra met de côté son esprit méchant présent dans ses spectacles[20]. La série tourne en dérision la cupidité de ces pionniers prêts à prendre tous les risques et à tout quitter sur la simple rumeur qu'on pouvait faire fortune ainsi que les villes champignons qui poussent en une nuit et meurent presque aussi vite, ainsi que la violence du Far-west, où les bagarres, fusillades, attaques de bandits ou d'indiens sont vus comme des événements banals et les pendaisons comme un divertissement. Chargé de faire respecter la loi, il est souvent débordé, ce qui permet l'entrée en scène de Lucky Luke[c 7]. » est familier. Dans l'histoire, Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » il a pour ami O'Hara[s 10]. La politique des éditions Dupuis étant que les séries vedettes soient pratiquement toujours au sommaire, les histoires s'enchaînent rapidement durant l'année 1952. Son nom sera aussi mentionné dans d'autres albums[d 18]. Le cercle dynamique centrifuge, comme dans l'histoire Lucky Luke contre Pat Poker avec la fuite devant la mouffette, le cercle dynamique rotatif, comme dans l'histoire Le Juge où Lucky Luke, attaché à un arbre, doit courir pour éviter l'ours de Roy Bean. Morris est aidé, à partir de la neuvième histoire, par plusieurs scénaristes, dont le plus fameux est René Goscinny. Les humoristes Éric et Ramzy ont repris le flambeau en écrivant et jouant une nouvelle adaptation cinéma en prise de vue réelle : Les Dalton. Goscinny, réalisant la magnifique invention graphique que sont ces quatre personnages, décide de les faire revenir en leur donnant en plus la bêtise comme principal défaut. Partez de ce que vous connaissez. Si leur physique est identique, ils sont différents par leurs caractères. L'année 1965 commence avec la publication de l'histoire à suivre Des barbelés sur la prairie du no 1411 jusqu'au no 1432, puis une Calamity Jane du no 1437 au no 1458. (ou et vous-même, quel bel ensemble vous portez, comment allez-vous ?) Il fait régner la loi dans l'Ouest américain et affronte des bandits historiques ou inventés dont les plus connus sont les frères Dalton[1]. Les auteurs aussi s'autocensurent : les danseuses de cancan n'apparaissent qu'au début des années 1970 ; lors des scènes de pendaison la corde est cachée ; les tableaux des saloons avec des femmes légèrement vêtues sont remplacés par des caches noirs[44]. Doté d'une forte personnalité, il impose ses décisions à ses trois frères, qui malgré tout le vénèrent. En dehors du saloon, se trouvent des personnes telles que le croque-mort, vêtu de noir, présent dès qu'un homme s'effondre, et qui parcourt de sa sombre allure les rues des villages à bord de son corbillard tiré par un cheval noir squelettique, souvent complice des bandits par intérêt commercial et se lamentant en cas de baisse ou absence de criminalité. En 1949 sort La Mine d'or de Dick Digger, premier album de la série[3]. Pour 1956, parait l'album Phil Defer qui contient les histoires dix-sept et dix-huit. » chez les rappeurs. Deux histoires publiées en album en 1960. La série est truffée d'éléments humoristiques qui parodient les œuvres de western. 2019). En 2002, sort un jeu de carte inspiré de la scopa intitulé Lucky Luke, la bataille contre les Dalton[s 32]. Les Rivaux de Painful Gulch, la trente-deuxième histoire, voit s'affronter deux familles au détriment de la ville de Painful Gulch, les O'Hara composés de Josuah, Mammy, Nathaniel[d 49], Pappy et Zacharias[d 50] et les O'Timmins, composés de Bigelow, Bobonne, Montgomery[d 51] et d'Old Timer. » après avoir entouré sa propriété de fil de fer barbelé[c 5]. Du côté de la bande dessinée, quelques auteurs se sont réclamés de la série comme Zep, l'auteur de Titeuf[105],[106], ou encore Christophe Blain[105], qui dit avoir appris à lire avec Lucky Luke[107]. Dans l'histoire Le 20e de cavalerie, Luke affronte les indiens Cheyennes dont le chef Chien Jaune est manipulé par le traitre Derek Flood qui le pousse à l'affrontement avec le 20e de cavalerie[d 55]. Le passage de la série de Spirou à Pilote permet à René Goscinny d'aborder des sujets plus modernes et d'introduire des histoires d'amour (Dalton City), la victimisation des Amérindiens lors de la conquête de l'Ouest (Canyon Apache), l'ambiguïté des héros de l'Ouest qui ne sont motivés que par l'appât du gain (Chasseur de primes) ou encore la psychanalyse (La Guérison des Dalton)[10]. Si, au début de la série, il n'exprime que rarement ses opinions, à partir de la trentième histoire Sur la piste des Dalton il devient sous la plume de René Goscinny un commentateur de l'action. » (Comment ça va ? » s'adresse à quelqu'un que l'on tutoie, tout en s'abstenant d'être familier, alors que « Salut, ça va ? Le chanteur français Joe Dassin interprète, en 1967, une chanson intitulée Les Dalton[14]. Morris s'en sert aussi pour représenter des cercles comme le cercle à dynamique rayonnante de l'histoire Les Dalton se rachètent qui montre un Joe Dalton furieux, bondir des quatre coins du saloon. Petit, nez retroussé, taches de rousseurs et incisives en avant, il est la parfaite caricature des jeunes adolescents[d 19]. Il s'agit de livres-disques comportant un certain nombre d'illustrations originales de Morris[89],[90]. Les premiers ennemis inventés que doit affronter Lucky Luke sont Big Belly, Mestizo et Cheat dans l'histoire Arizona 1880. Pour accompagner la sortie du film d'animation Tous à l'Ouest, sont édités sur PC, Wii et Nintendo DS des jeux tirés du film dont les graphismes et l'humour sont fidèles à la bande dessinée[s 24]. Powell est un vieillard, propriétaire d'une mine d'or à Gold Hill[d 37], Lucky Luke le protège contre Denver Miles qui veut lui voler sa mine dans la trente-neuvième histoire intitulée La Ville fantôme[d 38]. Cette censure, constituant selon Francis Lacassin une « négation même du western », pesait assez lourdement sur Morris, qui en mars 1966 a dessiné pour le journal étudiant belge Le Point une planche où Lucky Luke boit du whisky à gogo, tue ceux qui l'ennuient, et passe une nuit torride avec une danseuse de cancan, ce qui suscite la colère de Jolly Jumper : « Il sent encore l'alcool et le parfum ! Corral dont l'officier Wyatt Earp et son complice Doc Holliday[s 7]. Physiquement il possède un pelage marron, une grosse truffe noire et des oreilles pointues[d 9]. Dans Risque-Tout no 49 parait l'histoire courte intitulée Voleurs de Chevaux. Achdé fait un essai sur la série Rantanplan sous forme de strips et fait la connaissance de Philippe Ostermann, le directeur éditorial de Dargaud. », auquel il est répondu « Bonjour cher confrère, ça va bien, merci, cela faisait longtemps depuis notre dernière rencontre. Dans le domaine politique, le Premier ministre turc Turgut Özal a déclaré, sous forme de provocation, ne lire que Lucky Luke. Dans La Guérison des Dalton, le professeur Otto Von Himbeergeist, qui vient d'Europe pour guérir les Dalton grâce à une nouvelle science appelée la psychanalyse, va tourner casaque à leur contact[d 64]. C'est la fin censurée qui sera publiée dans le journal Spirou en 1952[41]. Pour l'année 1996 est publiée Le Klondike, sur un scénario de Yann et Jean Léturgie. Cette année est publiée La Diligence du no 1504 au no 1525, Le Pied-Tendre du no 1537 au no 1556[2]. L'arrivée des colons à l'Ouest, du train et du télégraphe sont traités de même manière que les grands évènements que sont la ruée vers l'or ou l'exploitation du pétrole. Les histoires Lucky Luke et Phil Defer « le Faucheux » et Lucky Luke et Pilule sont publiées dans le journal Le Moustique respectivement du no 1464 au no 1494 et du no 1508 au no 1516. Ensuite il affronte Cigarette Caesar dans l'histoire Lucky Luke contre Cigarette Cæsar. Morris, considérant que Dupuis fait du mauvais travail pour la diffusion sur le marché français, préfère alors se tourner vers un éditeur français ; à la fin des années 1960, Lucky Luke abandonne les pages du journal Spirou et les éditions Dupuis pour celles de Pilote et les éditions Dargaud. Dans l'histoire Le Pied-Tendre, Lucky Luke accompagne un aristocrate anglais nommé Waldo Badmington qui vient d'hériter d'une terre dans la ville de Dry Gulch. Pour être drôle, chaque apparition des Dalton doit être une surenchère dans le mal, Joe doit être encore plus haineux et Averell encore plus bête. Alain Bashung pose en costume de Lucky Luke pour le magazine Les Inrockuptibles de janvier 2003 et Laurent Gerra a posé habillé en Lucky Luke pour l'affiche de son spectacle Laurent Gerra flingue la télé[105]. Les frères Dalton sont une fratrie composée de quatre bandits prénommés Joe, Jack, William et Averell. : Lucky Luke qui permet de créer sa bande dessinée avec Lucky Luke comme héros[s 21]. On apprend qu'il confond les B et les G dans Ma Dalton. En 2002 est publié La Légende de l'Ouest, sur un scénario Patrick Nordmann. Dans le premier numéro est publiée une histoire complète de six pages intitulée Le desperado à la dent de lait, dans le second numéro l'histoire complète L'Hospitalité de l'Ouest, dans le troisième numéro l'histoire complète Maverick, dans le quatrième numéro l'histoire complète L'Égal de Wyatt Earp, dans le cinquième numéro l'histoire complète Le Colporteur, dans le sixième numéro l'histoire complète Passage dangereux, dans le septième numéro l'histoire complète Sonate en colt majeur, chaque histoire est complète et compte six planches, puis elles sont publiées en 1974 dans l'album 7 histoires de Lucky Luke. Il est le personnage principal de deux histoires de la série, Billy the Kid et L'Escorte, et apparaît dans six autres histoires : Les Collines noires, Jesse James, Western Circus, Belle Starr, L'Homme de Washington et Lucky Luke contre Pinkerton. De sa famille on connaît l'existence d'un frère cadet pékinois et de parents qu'il n'a jamais revus depuis sa première sortie seul[d 9]. Il faudra attendre 1981 pour que le dessin original soit rétabli dans l'album[d 2]. Jerry Spring et son ami Pancho, ainsi que Red Ryder et son aide Petit Castor, autres cow-boys du journal Spirou ont aussi droit à leur caricature[58]. Comment allez-vous ? Dans Rodéo, il affronte Cactus Kid et le Galeux. Il possède plusieurs qualités, comme la galanterie puisqu'il enlève son chapeau pour saluer les femmes, la courtoisie, le respect, la séduction (il est courtisé par plusieurs femmes). Morris utilise ce procédé cinématographique qu'est la plongée de différentes manières. Quand Morris quitte Dargaud pour Lucky Productions en 1990, il en profite pour refaire le dessin du quatrième de couverture des albums. La publicité se sert elle aussi de l'image de la série. La fin de l'histoire présente dans la réédition de la collection « Gag de poche » de 1964 est complètement différente puisqu'on voit Bob Dalton mourir après qu'une balle — que l'on suppose tirée par Lucky Luke — lui a traversé la tête. La publication se termine dans le no 929, puis est publiée en album en 1957, il s'agit du premier album ne contenant qu'une seule histoire. Avec Goscinny, les scénarios de la série commencent à avoir une véritable épaisseur. Nativement, WordPress ne permet pas de faire de multilingue. La croissance est depuis toujours le moteur de GIFI. Le mal est essentiellement représenté dans la série par les bandits de l'Ouest. Cette robe vous va à ravir », auquel il est répondu « Bonjour Monsieur (ou Madame), ça va bien, merci, je suis flattée, et vous-même, comment allez-vous ? Dans sa première apparition, il a l'apparence d'un colosse moustachu, pour sa deuxième apparition dans l'histoire Lucky Luke contre Joss Jamon il a les traits d'un jeune bandit coléreux. Les personnages principaux en sont les Dalton. Le suivant par la taille est William. Et vous-même, comment allez-vous ? Par exemple « Bonsoir, comment vas-tu ? Dans l'histoire Le Pony Express, Lucky Luke fait équipe avec William Hepburn Russell pour réussir le pari fou du Pony Express de transporter en moins de dix jours le courrier de Sacramento à Saint Joseph[s 4]. Salut mon garçon ! Les ennemis sont très présents dans la série, et si certains sont des personnages historiques du Far West, un grand nombre sont des personnages fictifs. Physiquement il est la caricature de l'acteur Wallace Beery, habillé négligemment au contraire de la réalité où les conducteurs de la société Wells Fargo sont soucieux de leur apparence. Le francophone souhaite une bonne journée ou une bonne soirée (selon le moment de la journée) et s'enquiert de l'état de son interlocuteur, « Bonjour, comment allez-vous ? Dans le cadre du Parcours BD de Bruxelles, une fresque murale de Lucky Luke, créée par Morris et réalisée par l'association « Art Mural », est inaugurée en 1992 dans une rue du centre-ville de Bruxelles (rue de la Buanderie)[110]. Entre mars 1974 et février 1975, la série va avoir son propre journal de bande dessinée. Renversant les clichés des œuvres de western, la cavalerie est montrée comme stupide, incompétente, voire dangereuse pour la paix, alors que les Amérindiens, bien que n'échappant pas à la caricature (usant notamment d'un langage très stéréotypé) ne sont pas montrés comme des sauvages, mais comme des victimes, de la trahison d'un des leurs, de la civilisation ou même de l'alcool. Comment vas-tu ? Le bien est représenté par la loi, qui est défendue par Lucky Luke, héros-type des séries de ce genre. Ensuite est publiée l'histoire à suivre Western Circus du no 520 au no 541 (1970 en album). Elle apparaîtra aussi brièvement dans d'autres histoires. Il était une fois des idées de. Deux albums publiés respectivement en 1975 et 1976 chez Dargaud. Ce dernier lui propose de reprendre Lucky Luke, un an après la mort de Morris. ». Le jeu est bien accueilli à sa sortie, ses points forts mis en avant sont les graphismes, le gameplay, ainsi que la bande-son tirée du dessin animé et ses points faibles la maniabilité et la durée de vie car il ne contient qu'une dizaine de niveaux[s 20]. » s'adresse à quelqu'un que l'on tutoie, tout en s'abstenant d'être familier, alors que « Salut, ça va ? Tu as vu les prix qu'ils demandent actuellement pour une simple GTX970, dans mon coin il y en a 3, ça va de 160 à 200â¬, une carte qui devrait couter pas plus de 70⬠(lol) On est loin des 32⬠de la carte de ce deal en attendant (ou pour de la simple bureautique) :) ⦠La dernière modification de cette page a été faite le 14 juin 2020 à 15:15. Dans l'image finale de chaque épisode il y a même un rappel des cow-boys chantants (en), tels Roy Rogers ou Gene Autry[39]. Il ne dialogue jamais avec Lucky Luke, même s'il comprend ce que ce dernier dit, ce dont Lucky Luke a conscience. Vestige d'un temps qui voyait dans la régularité intestinale un signe de bonne santé. ». Mais pour un linguiste, cette interprétation psychanalytique est peu crédible car il ne semble exister aucune attestation certaine de cette assertion[3]. La vingt-septième histoire, Ruée sur l'Oklahoma met en scène Coyote Will qui cherche à prendre le contrôle de Boomville[d 47]. Cette option a été préférée à l'idée de faire revenir d'outre-tombe les fameux bandits. Cette dernière utilisation permet de montrer qu'il y a quand même une explication au gag, dans cet exemple les Dalton montrent chacun en même temps un carré d'as[c 5]. Les salutations se présentent sous la forme d'un ensemble de signaux verbaux et non-verbaux qui, associés, forment un système immédiatement compréhensible pour tous les membres d'une même culture. Fingers est publiée en 1983 dans le magazine VSD et la même année en album[61]. Ceci permet de faire un plan d'ensemble d'une scène, par exemple un camp de chercheur d'or, ou l'intérieur d'un saloon, ou encore la rue principale d'une ville, tout en glissant plusieurs éléments humoristiques dans l'image. Il faudra attendre l'histoire Billy the Kid pour qu'il prenne l'apparence physique et le caractère qu'il conservera au cours de la série. Pour cet album, Laurent Gerra laisse le scénario au duo Daniel Pennac et Tonino Benacquista[65] qui reviendront pour l'album suivant, Cavalier seul, paru en 2012. Pat Poker est l'ennemi présent dans les deux histoires de l'album Lucky Luke contre Pat Poker ; dans la première histoire il est aussi accompagné de Bill, Fer à Cheval et du croque-mort ; Pat Poker réapparaît dans la cent-deuxième histoire intitulée Le Pont sur le Mississipi. Trois ans plus tard, les éditeurs annoncent le développement du jeu de Time Management Lucky Luke : Transcontinental Railroad sur PC, Mac, iOS et Android[88]. Fingers présent dans l'histoire du même nom est un magicien dont les mains volent sans qu'il puisse les contrôler ; il va aider les Dalton à s'échapper du pénitencier, puis va être placé sous la responsabilité de Lucky Luke[s 14]. origine scatologique ? La série parodie souvent l'univers de John Ford[37]. Le méchant est laid, par opposition à la neutralité graphique de la figure du bien. Il s'agit d'une des bandes dessinées les plus connues et les plus vendues en Europe, elle a été traduite dans de nombreuses langues. En 1971, Lucky Luke devient un héros de dessin animé avec le film Lucky Luke, renommé plus tard Daisy Town, dont Goscinny écrit le scénario et Morris le scénarimage. Il s'agit même d'une des premières séries de bandes dessinées franco-belge de ce genre. Le scénario est simplement constitué d'une série de rebondissements faciles[3] et de gags graphiques[4]. Personnage discret, voire peu malin ou tout aussi pleutre que les citoyens qu'ils sont censés protéger, afin de ne pas faire d'ombre au héros, il porte toujours la barbe ou la moustache et se trouve être soit très gros, soit très maigre. Il peut aussi, à certaines occasions, être cow-boy et mener les troupeaux à travers l'Ouest, conduire les caravanes de pionniers[d 3], escorter une personnalité et des délégations étrangères, être mandaté par le gouvernement notamment par le bureau des affaires indiennes, voire par le président des États-Unis en personne. La série représente un univers de western qui insiste moins sur le côté réaliste (caractéristique de Jerry Spring, autre série du journal Spirou créée en 1954 par Jijé), que sur le côté humoristique : elle est tout de même réaliste car la grande majorité des histoires est fondée sur des faits réels et des personnages ayant existé, mais aussi humoristique car la série est traitée avec humour et ne se prend pas trop au sérieux. Le roi du bétail Cass Casey est l'ennemi de l'histoire Des barbelés sur la prairie qui va entrer en guerre avec d'autres éleveurs contre les fermiers[d 57]. En juin 1949, après plusieurs mois passés au Mexique, ses compagnons de voyage repartent vers l'Europe[6]. En 1984, les studios américains Hanna-Barbera Productions produisent une série animée éponyme. Les autres interprètes sont Jacques Mauclair, Alain Mottet et Hubert Deschamps. » viendrait de « Comment allez vous à la selle ? Comme son frère Jack, il n'a pas de caractère particulier[d 14] et il arrive d'ailleurs que même les auteurs les confondent tous les deux en inversant leurs prénoms par erreur[d 15]. Cette même année, en 1949, sort le premier album de la série La Mine d'or de Dick Digger, il s'agit d'un album broché paru aux éditions Dupuis qui comprend les histoires deux et trois, suivi du deuxième album Rodéo qui comprend les histoires quatre, cinq et six[59]. Sa principale particularité est de souvent finir les phrases de son frère William[d 13]. Lulu Carabine, qui fait flancher le cœur de Joe et William Dalton dans Dalton City ressemble à la plantureuse Mae West. Avant la série animée est sorti, l'année précédente, un long-métrage intitulé Les Dalton en cavale réalisé par le même studio américain[15]. Très susceptible, il peut se vexer à la moindre remarque de son cow-boy. Son physique lui aussi est différent de celui qui sera plus tard visible dans la série. On croise quelques personnalités contemporaines dans certains albums, notamment Louis de Funès et Patrick Préjean dans Le Bandit manchot, Jack Palance en Phil Defer[50] dans l'album du même nom, ou Lee Van Cleef en Eliot Belt dans Chasseur de primes. La même année sort un jeu de puissance 4 intitulé Les cinq Dalton à l'effigie des frères Dalton[s 27]. Ces deux histoires sont publiées en 1973 en album[9]. Par la suite, les éditions Lucky Productions, qui éditent toutes ces séries, rejoignent les éditions Dargaud pour créer Lucky Comics qui publie désormais les anciens albums Dargaud et Lucky Productions, ainsi que les nouveaux albums et ceux de la série Rantanplan[17].