À Koursk, en 1943, les Russes se sont imprudemment enfoncés dans le dispositif allemand. On dirait que quelqu’un marche dans la ville et frappe les toits de son bâton. Appuyé sur les derniers travaux américains, allemands et russes, cet ouvrage décape la vision de la bataille de Koursk, en démonte les mythes et les légendes. 80% de l’habitat sera détruit, mais les panzers s’enliseront dans les ruines de la ville. - À Verdun, entre 50 et 60 millions d’obus furent tirés. Elle est l’une des batailles décisives du front russe qui ont déterminé l’issue de la Seconde Guerre mondiale. Toutefois la bataille dite de Koursk, à environ six cent kilomètres plus à l’ouest de Stalingrad, se déroulant du 5 juillet à la fin août 1943, est le plus sanglant grand engagement de la Seconde Guerre mondiale avec deux millions huit cent mille morts (toujours dans la proportion des deux-tiers pour les soviétiques). L'échec de la pince Nord est déjà consommé depuis quelques temps. Lorsque ceux-ci omettent le “fact checking”, la catastrophe éditoriale n’est pas loin. Israël et les Etats-Unis ont-ils toujours marché main dans la main? L’Armée rouge, bien qu’ayant souffert de pertes encore plus importantes, dispose de réserves stratégiques et peut alors lancer deux contre-offensives de part et d’autre du saillant de Koursk, l’opération Koutousov et l’opération Polkovodest Rumyantsev. Contrairement à une idée reçue, les Allemands ont frôlé la victoire. C’est la fin de la Blitzkrieg.” (in Yves Buffetaut, Moscou 1941, ed. Le front de l’Est avait donc évolué en une série d’avances allemandes durant l’été, suivies par des contre-attaques russes durant l’hiver. Introduction au livre ''Une autre histoire de l'aviation'', de Toni Giacoia. A nouveau, cependant, l'OKW avait largement sous-estimé les forcesdes Soviétiques - une erreur qui devait avoir de désastreuses conséquences. Sur l’île principale, les Nippons fanatisés se retranchèrent dans les grottes et utilisèrent les moindres accidents de terrain pour opposer une résistance farouche. La guerre de Sécession constitue un moment charnière de l'histoire des Etats-Unis. 3) Bataille de La Somme (1er juillet-18 novembre 1916) : 436.000 morts. Qu’en est-il pour les combattants ? Bataille décisive qui met fin aux Cent-Jours et à l'épopée napoléonienne, cette bataille qui scelle la campagne de Belgique a déterminé le sort de l'Europe jusqu'à la Première Guerre mondiale Le bilan humain est terrible : 9 500 morts et plus de 30 000 blessés, près de 4 000 disparus. C'est la durée de la bataille, l'une des plus sanglantes de l'histoire avec celle de Stalingrad, en 1942. Considéré comme l’un des tournants majeurs du deuxième conflit mondial, les Soviétiques l’emportèrent malgré des pertes immenses. Entre 50 et 60 millions d’obus furent tirés. Hitler envoya le 4e PanzerKorps SS pour les délivrer ; ce fut un échec. Le siècle des Guerres mondiales). La mort nous engourdit de son souffle glacial (…) Il y a beaucoup de choses dont je ne me souviens pas car je perds souvent conscience à cause de la faim. Sur Internet, la désinformation historique est très fréquente ; blogs, chaînes Youtube, réseaux sociaux déversent continuellement rumeurs et intox. Enfin, l’hiver glacial s’installa durablement et les températures chutèrent entre 30 et 40 degrés sous zéro. Nous nous bombardions avec des grenades au milieu des explosions, des nuages de poussière et de fumée…” (in John Keegan, La Deuxième Guerre mondiale). Ce fut la bataille la plus meurtrière de la Première Guerre mondiale. Cependant, elle a jeté les bases des victoires fatidiques à Stalingrad et dans le saillant de Koursk. Même si la Somme cause plus de pertes, seul “l’enfer de Verdun” reste dans les mémoires, aucune autre bataille n’a d’expression similaire” (in Malcom Brown, Verdun 1916, Tempus, 1999). Oui, la Wehrmacht est passée à deux doigts de la victoire. Pendant l’hiver … La bataille de Koursk oppose du 5 juillet au 23 août 1943 les forces allemandes aux forces soviétiques sur un immense saillant de 23 000 km 2 situé au Sud-Ouest de la Russie, à la limite de l’Ukraine, entre Orel au nord et Belgorod au sud.C’est l’une des batailles qui ont déterminé l’issue de la Seconde Guerre mondiale en Europe. Désormais, tout professionnel se doit de vérifier systématiquement l’origine de ses informations afin de s’assurer qu’il ne s’agit pas de “fake news”. Cornelius Ryan, La Dernière bataille : 2 mai 1945, la chute de Berlin, Tallandier, 1995, Pierre Vallaud, La Seconde Guerre Mondiale, Tome 4 - A l'assaut de l'Europe, 1944-1945, Acropole, 2002, Vassili Tchouïkov, Berlin 1945 : De Stalingrad à Berlin, Laville Editions, 1968, David M. Glantz, Barbarossa Derailed : The Battle for Smolensk 10 July-10 September 1941 - Volume 2 : The German Offensives on the Flanks and the Third Soviet Counteroffensive, 25 August-10 September 1941, Helion and Company, 2010, Robert Kirchubel, Atlas of the Eastern Front : 1941-45, Osprey Publishing, 2016, Michael Olive, Robert Edwards, Operation Barbarossa and the Eastern Front 1941, Pen & Sword Military, 2012, Yves Buffetaut, Moscou 1941, Ysec Editions, 2015, Paul Carell, Hitler’s War On Russia AKA Hitler Moves East, Aberdeen Books ,2009, Andrew Nagorski, La bataille de Moscou, Perrin, 2011, Janusz Piekalkiewicz, Moscow 1941: The Frozen Offensive, Arms & Armour P, 1985, Nicolas Bernard, La Guerre du Pacifique, Tallandier, 2016, John Costello, La guerre du Pacifique, Des origines à Hiroshima, Pygmalion, 1981, George Feifer, Battle of Okinawa: The Blood And The Bomb, Lyons Press, 2011, Robert Leckie, Okinawa : The Last Battle of World War II, Penguin Books, 1996, Daniel Marston, The Pacific War Companion, From Pearl Harbor to Hiroshima, Oxford, Osprey, 2005, Constance Sereni, Pierre-François Souyri, Kamikazes, Flammarion, 2015, Eugene B. Sledge, With the Old Breed, at Peleliu and Okinawa, Ebury, 1981, Ronald H. Spector, La Guerre du Pacifique 1941-1945, Albin Michel, 1984, Stephen R. Taaffe, Marshall and His Generals : U.S. Army Commanders in World War II, University Press of Kansas, 2011, Colonel Hiromichi Yahara, The Battle For Okinawa, Wiley, 1973, Magazine L’Histoire, Asie-Pacifique, l’autre guerre mondiale, 1931-1945, juillet-août 2015, Lee Baker, The Second World War on the Eastern Front, Londres-New-York, Pearson Longman, 2009, Philippe Guillemot, Des batailles et des hommes : Hongrie 1944-1945, Histoire & Collections, 2011, Jean-Philippe Liardet, Aux portes du Reich, batailles pour la Hongrie, 2e Guerre mondiale, mai-juillet 2013, numéro 32, Georg Maier, Drama between Budapest and Vienna - The Final Battle of the 6th Panzerarmee 1945, J.J. Fedorowicz Publishing Inc., 1985, Krisztian Ungvary, Battle for Budapest : 100 Days in World War II, I.B.Tauris, 2011, Anthony Tucker-Jones, The Battle for Budapest 1944-1945 : Rare Photographs from Wartime Archives, Pen and Sword, 2017. Le nombre de morts varie selon les historiens, mais on l'estime à près de deux millions avec une plus grande perte du côté soviétique (plus d'un million de morts) où de nombreux civils ont été tués dans les combats (environ 300 000 morts). Les Allemands disposaient de canons tirant des obus de 1 tonne, 1,5 tonne, et 7 tonnes. Les Allemands sont vainqueurs, mais épuisés. 2015). 7) Bataille de Smolensk (10 juillet-septembre 1941) : 175.000 à 210.000 morts. 2009). Staline avait ordonné : “Plus un seul pas en arrière”.
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